Jacques P., France

“Le soleil avait lancé toutes ses flèches enflammées.
Les oryx, zèbres, phacochères pressés fendant la brise dans un élan spontané.
Au mirador toutes les femmes sont belles et médusées.
À l'aube elles contemplent d'un regard émerveillé.
Les girafes silencieuse qui s'abreuvent esseulées.
Dans le bush un bruit strident à raisonné.
Pour l'équilibre de la faune un gnou est tombé.
L'eau de la piscine n'a pas cessé de danser.
Au rythme des champs des gangas effrénés.
La table ronde, tournante a bien fonctionné. Chacun se servant à volonté et félicité. Avant de se bercer sur le hamac et se dorer.
Le soir le bleu turquoise du ciel nous a sidéré.
Pour se muer en un espace d'étoiles criblées.
Non loin du Kalahari a Otjiwarongo, une brève escapade désertique nous à revitaliser.
Dans la vie il y a souvent des coups dures, parfois les coups bas, mais ici, il n'y a que des koudoux.
Pour reprendre un mot du maître de céans c'est "super”.”
Jacques P., France
- 2003